Rêvalité de la nuit du 04 au 05 mai 2013

Un "rêvalité" très étrange par son contenu mais aussi par le fait d'avoir ma conscience "bloquée". Certaines choses que je connais m'aurait pu aider mais c'est comme si je n'en avais pas l'accès. Néanmoins, ce rêvalité m'avait l'air très cours et s'est réalisé entre 4h30 et 8h30 du matin (Je me suis réveillé à 4h20).

Je me réveille. Je me lève. Je suis dans le couloir d'un immeuble. Je regarde par la fenêtre. Je vois les dessous d'une ville que je ne connais pas. Assez sale, la ville n'a pas l'air d'avoir de cohérence car je vois des bâtiments et des maisons en pierre et comme s'ils avaient poussé n'importe comment des bâtiments derniers cris du genre des buildings de Hong-Kong.

Je regarde le couloir et je remarque qu'il n'y a pas que la ville qui est crade. Ce qui est étonnant vu que les habitants sont biens sapés. Certain(e)s sont habillés dans des fringues qui font très années 40-60. Une femme m'interpelle derrière moi. C'est une femme âgée souriante qui sent la naphtaline (en tout cas c'est ce qui m'est venu à l'esprit). Elle me demande si je peux l'aider à appeler l'ascenseur car il est encore bloqué.

La porte est à moitié ouverte. Je regarde l'ascenseur est là j'ai vraiment l'impression de voir les ascenseurs des années 80 avec de la moquette brune sur les murs et rien qu'à son apparence, je préférai prendre les escaliers. Je débloque la porte. Je regarde s'il n'y a pas d'autres soucis (première nouvelle, je ne savais pas que j'étais capable de réparer un ascenseur). La femme âgée me remercie avec un grand sourire avant de prendre l'ascenseur.

Je vais vers une fenêtre où l'on peut apercevoir la rue qui se trouve en bas. Vu la hauteur je dirai que je suis entre le 10ème et 15ème étage. Je traverse la fenêtre (sans la brisée) et chute vers la rue. Je me pose sur la rue comme un personnage de Matrix (mais sans brisé le sol est les fenêtres aux-alentours). à genoux et un poing tendu contre le sol.

Les gens me regardent quelques secondes puis retournent à leurs occupations.

Je marche tranquillement et à quelques mètres je vois une grande place quand une main se posa sur mon épaule. Surpris je me retournai...

NOUS SOMMES ARANIENS.

Noir total, je me réveille.