Rêvalité de la nuit du 27 au 28 avril 2013

Ce "rêvalité" est encore plus bizarre que tous ceux que j'ai pu faire. Ce rêve reste compréhensible mais c'est comme si 2 scénarios se jouaient en même temps.

Je deviens lucide est m'aperçoit que je suis dans ma chambre. Je sais que je rêve vu que l'agencement de ma chambre n'est pas du tout la même et qu'en plus elle paraît plus grande. Je regarde par la fenêtre, il fait beau, pas un nuage à l'horizon et les oiseaux chantent. Je sors de ma chambre est descend les escaliers. Dans le salon il y a mes parents et ma sœur quand on sonna à la porte. Mon père va ouvrir et me dit que c'est pour moi. Deux filles sont devant moi en uniforme scolaire (L'une est très gentille, douce mais surtout effacée tandis que l'autre ne prend pas de gants et est désagréable au possible. Pourtant elles sont toutes les deux très belles). Elles ne se présentent pas mais me parlent comme si elles me connaissaient. Je les invite dans le salon et me disent qu'elles ont quelque chose d'important à me dire.

Nous nous installons et je leur demande quelle est cette chose importante. La fille douce était prête à me le dire quand l'autre me dit qu'il fallait la suivre à "l'établissement" pour le savoir. Je ne sais pas ce qu'était cet "établissement" mais j'ai refusé. La conversation s'en envenimé. Je les ai laissés là et je suis monté dans ma chambre. Arrivé dans ma chambre, elles étaient là. Je leurs ai dit que si elles ne voulaient pas me parler ici ce n'était pas la peine de me suivre et qu'en plus j'avais des devoirs (?) à faire... (???)

Je vais à la salle de bain pour me mettre un peu d'eau sur le visage et je tombe sur une énorme salle de bain qui n'a rien à voir à l'origine. Il y a de plus 3 personnes que je ne connais pas. Un enfant, un adulte et un vieillard. Ils ne disent rien mais regarde tous ce que je fais. Les deux filles se tapent l'incruste dans la salle de bain. Je suis tellement furieux que j'aurais pu les atomiser sur place. La fille qui était effacé a regardé sa copine d'un drôle d'air qui lui cloua le bec. Elle me ramena dans ma chambre est m'expliqua que c'était à propos de mes pouvoirs. Qu'ils ne pouvaient pas exister car je n'ai pas de pierre...

Je suis sous la terre, je dirais que c'est une mine qui d'ailleurs est plutôt bien éclairé. Des enfants et de jeunes adultes sont dans cette mine. Certains ont un regard sans vie, d'autres se battent pour des pierres et d'autres fouillent la mine. Il y a aussi des gardiens. Telle la mort, ils sont habillés pareil à l'exception d'être noir, leurs longs vêtements et la capuche est rouge bordeaux. J'arrive à voir le visage de l'un d'entre eux. Il n'a rien d'humain. Des yeux rouges comme des lasers et des dents acérés sur une bouche où il n'y a pas de lèvre. Un garçon interpelle un gardien car on lui a volé quelque chose. Le gardien trace sa route comme s'il n'avait rien entendu. C'est à partir de ce moment que je m’aperçois que les lumières dans la mine sont en fait des pierres comme des émeraudes, diamants qui illuminent celle-ci. Je continue mon chemin. J'arrive à une impasse. A ma gauche se trouve une porte en bois qui semble très vieux. Les gonds sont rouillés et la porte bien en très mauvais état, j'ai la sensation qu'elle est très solide. J'entends un bruit. La porte s'ouvre d'elle-même. Je rentre et...

Je suis devant les filles dans ma chambre comme si je ne les avais pas quittés. La "gentille" me parle des pouvoirs et des pierres.

- Tu parles de ce genre de pouvoir. Lui répondis-je.

Je tiens les épaules des deux filles et me téléporte près d'un lac qui se trouve environ à 500m de chez moi. Je ne sais pas comment j'ai fait mais je savais que j'étais capable de le faire.

Abasourdis, elles me demandent comme j'ai fait et où sont les pierres. Je leurs dis que si elles ne me croyaient pas elles avaient qu'à me fouiller. La fille qui est à ne pas prendre avec des pincettes me fait les poches et me mets même torse nu pour être sûr. Ne trouvant rien, elle me demande comme je fais. L'autre fille s'approche aussi. Je les prends par la taille et je m'envole jusqu'au-dessus de nuages qui s'étaient rapprochés pendant ce temps. De gros nuage d'orage qui passaient du blanc à un gris voire noir menaçant.

- Comment fais-tu ça ? me demandaient-elles tous les deux.

Je leurs répondis par un sourire.

Arrivé au-dessus des nuages, je leurs fais un ultimatum, que dans mon for intérieur je ne l'aurai pas fait mais ça, elles ne le savaient pas, que je les lâcherai dans le vide. Je leurs demandais qui elles sont...

Voici leurs réponses

- Je suis... mais... (la fille douce)

- Je suis... mais... (la fille au mauvais caractère)

Toutes les 2 ensembles :

- NOUS SOMMES...

Un grondement de tonnerre s'entend tout à coup et je me réveille.